Yoshitomo Imura, employé d’une université, a reconnu les faits mais assuré qu’il ignorait que ses agissements étaient hors la loi.
L’intéressé, qui réside à Kawasaki (à côté de Tokyo), avait posté il y a quelque temps sur internet une vidéo montrant les armes créées avec son imprimante 3D, ce qui a mis la puce à l’oreille de la police.
D’après les services de sécurité cités par la NHK, ont été trouvés chez lui 5 pistolets fabriqués ainsi, dont 2 ayant des capacités de tir. En revanche, aucune balle n’a été découverte.
Les imprimantes 3D sont des objets un peu plus imposants que des imprimantes traditionnelles et qui permettent de créer des objets en relief par superposition de fines couches de matières plastiques ou autres fondues, à partir de données créées sur ordinateur. Des modèles grand public sont désormais en vente au Japon à partir de 450 euros environ.
C’est la première fois qu’un Japonais est arrêté pour ce motif, a souligné la chaîne NHK.
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